le chat ronfle dans le placard.
le chat ronfle dans le placard. abbey road en tgv, c'est comme qui dirait chatoyant. ne mangez pas du fenouil, c'est vomitif. y'a des grands becs plein mon bras, un pirate barbu sur mon épaule, et pour ma plus grande joie ils ne partent pas au lavage.
autrement dit le festiblog. ou "j'me suis fait capter à essayer d'embarquer le verre de bière". c'est bas, lo.
y'avait un espece de poteau psychedelique avec des robinets au milieu de la pièce, et je ne m'en suis rendu compte que lorsque je n'avais plus les idées claires du tout, même que sur le coup j'me suis demandé comment avait-ils fait pour faire pousser un arbre à cet endroit. jusqu'à ce que les fameux robinets me ramènent à la réalité. du coup aprés ce poteau était mon pote grave, pendant au moins trente secondes.
il y avait du monde jusqu'à n'en plus pouvoir, et se déplacer était une entreprise délicate.
il y avait des bougies posées pile là où on fout la tête quand on s'assoit, et je fus étonnée de n'avoir vu personne se transformer en torche humaine avant la fin de la soirée.
bref. retour à la réalité. un vieux avec un oeil chelou assis en face de moi dans le train, qui est resté là sans rien faire pendant quatre heures. je ne savais pas que c'était humainement possible. ce con arretait pas de me fixer, et c'était aussi enervant qu'effrayant.
retour à la réalité, le chat ronfle dans le placard, le monstre du litro fait un peu la gueule, ça fait un bout de temps que je l'ai pas nourri aussi faut dire, mais il va s'en remettre.